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Make Switzerland Great Again !

Bruxelles impose sa loi, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est censé se taire et payer.

La Suisse vient de subir un revers humiliant sur la scène internationale : les tarifs douaniers de Donald Trump frappent nos exportations et nos autorités se montrent impuissantes. Après l’échec cuisant de Karin Keller-Sutter, Guy Parmelin tente maintenant de reprendre les négociations. Il est temps de relever la tête et de se montrer ferme sur tous les champs de bataille !

 

Quand la Suisse perd la face

Nos exportateurs sont pénalisés par les droits de douane imposés par les États-Unis. Le Conseil Fédéral
a tenté de minimiser l’impact, mais la réalité est dure : la Suisse paie le prix de son manque d’anticipation et de sa faiblesse diplomatique. La ministre Keller-Sutter a échoué à défendre nos intérêts à Washington, laissant Trump imposer puis renforcer ses conditions. Aujourd’hui, c’est Guy Parmelin qui
retourne négocier, contraint de reprendre un dossier explosif où la marge de manœuvre est de plus en plus réduite. Cette situation donne l’occasion aux européistes d’affirmer la nécessité pour la Suisse d’intégrer l’UE qui s’est, d’après eux, mieux défendu que la Confédération.


Rester fermes face aux puissants
Cette situation prouve une chose : quand la Suisse baisse la garde, elle est sanctionnée, peu importe son adversaire. Nous devons redevenir un pays capable de tenir tête aux grandes puissances. Nos ancêtres ne se sont pas battus pour qu’aujourd’hui notre souveraineté soit bradée à Bruxelles ou à
Washington.
La Suisse a prospéré parce qu’elle a su rester indépendante, négocier d’égal à égal et refuser la soumission aux grandes puissances. Nos accords bilatéraux fonctionnent ; nous n’avons pas besoin d’une soumission institutionnelle à l’UE pour commercer. Quant aux États-Unis, ils respectent davantage un partenaire solide qu’un pays qui se plie sans résistance. L’heure est venue de montrer que la Suisse n’est pas une petite province à la merci des décisions étrangères. Il nous faut non seulement une diplomatie affirmée et une économie compétitive mais surtout une souveraineté ferme pour défendre nos emplois et notre prospérité. Nous ne devons pas céder aux sirènes de l’UE parce que nous traversons une période plus difficile pour l’économie helvétique.

 

NON aux accords qui nous enferment dans une cage européenne. La Suisse doit redevenir un acteur respecté, pas un spectateur impuissant. Restons fidèles à notre modèle, à notre liberté et à notre neutralité. Le monde respecte les nations qui se tiennent debout : faisons en sorte que la Suisse en fasse encore partie.

Jean-François Ramé,
Président de l’UDC du district de
St-Maurice, St-Maurice (VS)

C’est pourquoi il faut voter NON au traité de soumission à l’UE et NON à l’assujettissement 2.0 au Bailli Gessler.  
Nous refusons :  D’OBÉIR, DE PAYER ET DE NOUS TAIRE.