Nous n’avons pas besoin d’une adaptation dynamique de nos lois à l’UE. Nous ne voulons pas de juges de l’UE.
Bruxelles impose sa loi, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est censé se taire et payer.
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Bruxelles impose sa loi, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est censé se taire et payer.
Lauterbrunnen, 2.10.2024 – Le Comité interpartis Pro Suisse recommande à ses membres de signer l’initiative populaire fédérale « Pour une Suisse démocratique directe et compétitive – Non à l’adhésion passive à l’UE (Initiative Boussole) ».
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Ces dernières semaines, Yverdon-les-Bains a supplanté la Riponne dans les esprits en tant que symbole romand des ravages de la drogue. Mais un problème de souveraineté ne se cache-t-il pas derrière cette crise ?
Bruxelles impose sa loi, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est censé se taire et payer. Telle est la teneur centrale du nouveau traité que le Conseil fédéral souhaite conclure avec l’UE. L’ancien Président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a déclaré à propos de la Suisse :
Bruxelles commande, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est sommé de se taire et de payer.
Bruxelles commande, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est sommé de se taire et de payer. Tel est, en substance, le contenu du nouveau traité que le Conseil fédéral cherche à conclure avec l’UE. Le nouvel écran de fumée de ceux qui cherchent à soumettre notre pays à
Lauterbrunnen, 3 septembre 2024 – plusieurs médias ont évoqué, avec une présentation parfois « tapageuse », les enquêtes du ministère public de la Confédération en rapport avec des collectes de signatures frauduleuses, relatives à des initiatives populaires. À côté de plusieurs autres initiatives populaires, l’initiative populaire fédérale pour le «
Déjà torpillée sur le plan diplomatique, la posture traditionnelle de la Suisse est désormais affaiblie par des coopérations inédites sur le plan militaire. « La Suisse en passe d’abandonner sa neutralité historique et rejoindre l’OTAN. » Non, ce n’est pas le cri de colère d’un élu UDC à Berne, mais
Tel est en substance le contenu du nouveau traité que le Conseil fédéral souhaite conclure avec l’UE. Le 1er septembre 1939, l’Allemagne hitlérienne a déclenché la Seconde Guerre mondiale avec l’invasion de la Pologne. Le jour précédent, il y a 85 ans, l’Assemblée fédérale avait élu Henri Guisan comme général.
Lauterbrunnen, 29 août 2024 – La commission d’étude « Politique de sécurité » mise en place par le Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) présente son rapport. Composée de manière unilatérale, la commission prend ses distances avec la neutralité suisse et
Source: VBS Lauterbrunnen, 23. Août 2024 – La direction politique du Département de la défense (DDPS) poursuit à grande vitesse la coopération militaire avec l’OTAN et l’UE. Cette semaine, la majorité du Conseil fédéral a décidé, sur proposition de la cheffe du DDPS, la Conseillère fédérale Viola Amherd, de participer
« Le chapeau de Gessler est le symbole d’une autorité dont le seul but manifeste est d’imposer à la population un comportement docile. Il représente la domination et l’ingérence étrangère ». En clair, voici ce que l’accord-cadre prévu avec l’UE signifiera pour nous : Conclusion : le prix pour accéder au
« Bruxelles dicte, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est censé se taire et payer. » Tel est le fond du nouveau traité que le Conseil fédéral souhaite conclure avec l’UE. Tous les détails qui ont été placés sur le devant de la scène, comme ce qu’on appelle le tribunal
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Des enjeux politiques capitaux attendent notre pays ces prochains mois. Lundi 5 août, des personnalités de tous horizons se sont réunies à Lausanne pour jeter les bases d’un combat politique mené à la sauce « welsch ». « Quelle est la valeur d’un peuple et d’un Parlement dont les décisions
Nous célébrons aujourd’hui la Fête nationale, occasion de rendre hommage à cette poignée d’hommes réunis sur la prairie du Grütli, décidés à vivre libres, à déterminer eux-mêmes leur destin. La naissance du pays qui est le nôtre fut assez turbulente.
La Confédération suisse célèbre aujourd’hui son 733e anniversaire. En un lieu mémorable, devant le monument aux soldats Forch, le Président de Pro Suisse, le Dr Stephan Rietiker, nous invite à être pleins de gratitude et à nous engager résolument pour les piliers fondamentaux qui ont permis à la Suisse de devenir libre, prospère et sûre. L’engagement des jeunes et des moins jeunes est indispensable !
Un sondage lancé au milieu du mois de juillet se penche sur le bien-être des militaires qui ne se sentent ni homme ni femme. Un sens des priorités qui fait bondir l’UDC Jean-Luc Addor. « Notre Armée manque de moyens. Elle en a assez, toutefois, pour financer un sondage sur la
L’attentat qui a visé le politicien illustre dramatiquement l’effondrement des usages démocratiques en cours aussi bien à gauche qu’à droite.
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L’invité d’honneur de la Municipalité pour la Fête nationale suscite une levée de boucliers. En cause, un accent trop pro-palestinien aux yeux de certains. Le syndic Grégoire Junod défend son choix.
Lauterbrunnen, le 26 juin 2024 – Le Conseil fédéral a décidé aujourd’hui de rejeter l’initiative populaire fédérale pour le « maintien de la neutralité suisse » (initiative sur la neutralité) sans lui opposer de contre-projet. Il entend donc poursuivre la voie zigzagante, peu crédible et pas respectée par toutes les parties au conflit. Ce faisant, il prend parti, n’est plus accepté en tant que médiateur neutre et compromet ainsi imprudemment la sécurité des personnes et des infrastructures en Suisse.
Sceptique, il l’était. Sceptique, il reste. Du Sommet pour la paix en Ukraine, Pierre-André Page ne voulait pas entendre parler. Et ce n’est pas la déclaration finale signée par 84 pays et institutions qui le fera changer d’avis. Interview publiée le 17 juin dans Blick.
Discours à l’occasion de la cérémonie publique du 1er juin 2024, 11h30,
à l’hôtel de ville de Winterthour
Lauterbrunnen, 29 mai 2024 – L’initiative populaire fédérale « Sauvegarder la neutralité suisse (Initiative sur la neutralité) » a abouti validement. La Chancellerie fédérale suisse a constaté au 28 mai 2024 que l’initiative remplit toutes les conditions légales avec 129’806 signatures authentifiées, cf. annexe (fichiers PDF). Le Comité d’initiative est
Allocution du 25 mai 2024, présentée lors de l’Assemblée générale ordinaire des membres de PRO SUISSE
par Christoph Blocher, ancien Conseiller national et ancien Conseiller fédéral
Les mauvaises nouvelles quotidiennes et des conflits armés caractérisent notre quotidien : nous nous retrouvons de plus en plus dans un contexte houleux, raison pour laquelle nous souhaitons profiter de cette manifestation pour lancer un « appel à une prise de conscience ». Il est en effet urgent de se
Un récent Temps Présent consacré à une « Immersion dans l’Amérique des pro-Trump » n’a pas fait dans la dentelle pour dénoncer la dangerosité de l’ex (et peut-être futur) président américain. Digne du service public d’un pays neutre ?
La pétition « Accord OMS sur les pandémies – non merci » a été remise aujourd’hui aux services du Parlement avec 37‘637 signatures. Adressée aux membres du Conseil national et du Conseil des Etats, elle exige que l’accord OMS sur les pandémies soit soumis au Parlement et que la Suisse refuse de le signer. Les pétitionnaires ont d’ores et déjà reçu un appui interpartis issu de l’Assemblée fédérale.
Berne, le 11 avril 2024 – L’initiative populaire fédérale « Sauvegarder la neutralité de la Suisse » (initiative sur la neutralité) a été déposée aujourd’hui, jeudi 11 avril 2024, à la Chancellerie fédérale avec 132’780 signatures authentifiées. Elle a été déposée environ un mois avant l’expiration du délai légal de récolte de signatures fixé au 8 mai 2024. Au total, plus de 180’000 signatures ont été récoltées. Faute de temps, toutes les signatures n’ont pas pu être envoyées aux communes pour être authentifiées. Pour le Comité d’initiative interpartis, cette réussite est un message fort. Au cours des derniers mois en particulier, le nombre de signatures reçues a dépassé les attentes. Le Comité d’initiative constate avec plaisir que l’initiative a été signée par de nombreux citoyens et citoyennes. C’est un signal fort que la neutralité de
L’arrêté de la Cour européenne des Droits de l’Homme (CrEDH) rendu le 9 avril dernier contre la Suisse au sujet de sa prétendue inaction climatique est une violente attaque frontale contre les droits populaires. Il y a danger à tolérer un tel coup de poignard antidémocratique.
Lauterbrunnen, le 9 avril 2024 – La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) est entrée en matière sur une plainte déposée par les prétendues « Ainées pour le climat ». La Cour de Strasbourg constate une violation de la Convention des droits de l’homme. Selon elle, les États ont l’obligation de
«Alerte»: le combat européen au premier plan L’accord-cadre 2.0 de l’UE va devenir le principal combat de Pro Suisse. Ce thème sera donc au centre des préoccupations de l’assemblée générale de cette année. Samedi 25 mai 2024, 10h30, caserne de Berne: Parleront de ce thème: Déjeuner: inscription obligatoire, merci de communiquer le nombre de
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Lauterbrunnen, 26 mars 2024, 14h00 – L’édition publiée aujourd’hui de l’étude « Sécurité 2024 » de l’Académie militaire ACAMIL et du Center for Security Stu-dies (CSS), tous deux rattachés à l’EPF de Zurich, confirme une fois de plus que les revendications politiques de Pro Suisse bénéficient du large soutien d’une majorité de la population suisse.
Lauterbrunnen, le 8 mars 2024 – C’est avec une grande inquiétude que Pro Suisse prend acte de l’adoption ce jour par le Conseil fédéral du mandat de négociation avec l’Union européenne. Pro Suisse note que le mandat est basé sur des valeurs de référence inacceptables du soi-disant «common understanding» préalablement convenues avec la Commission européenne. Autrement dit, le Conseil fédéral veut que la Suisse soit menée en bateau par l’UE. L’UE décide, l’UE ordonne, l’UE dirige et la Suisse paie.
L’attaque au couteau qui a frappé un Juif à Zurich au début du mois de mars suscite une émotion bien compréhensible. Mais le terrain de l’horreur n’a-t-il pas été préparé par l’importation en Suisse d’un conflit face auquel nous devrions rester neutres ?
Face à la crise paysanne européenne, l’exception suisse a encore frappé les esprits. Et si notre souveraineté nous avait une nouvelle fois tirés d’affaire ?
En préambule, Pro Suisse constate avec étonnement qu’en tant que plus grande organisation extraparlementaire et interpartis au service de l’indépendance, de la neutralité et de la sécurité de la Suisse, elle n’a pas été invitée à participer à la consultation sur un nouveau mandat de négociation avec l’Union européenne (UE).
Lauterbrunnen, 30 janvier 2024 – Le mouvement interpartis Pro Suisse est extrêmement préoccupé quant à l’avenir de la Suisse. Comme on devait s’y attendre, la Commission de politique extérieure du Conseil national CPE-N soutient le rattachement institutionnel de la législation et de la juridiction de la Suisse à l’Union européenne.
La Suisse risque de verser quatre milliards à l’Union européenne pour soutenir ses États les plus faibles. Le prix de la liberté sur notre continent ? Nous en dialoguons avec l’UDC Yves Nidegger, le popiste Luca Schalbetter et un europhile assumé, le socialiste Pierre Dessemontet.
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Le Conseil fédéral a adopté aujourd’hui un projet de mandat de négociation avec la Commission européenne. Comme on pouvait s’y attendre, ce projet de mandat ne contient rien de nouveau, mais ne fait que préconiser une nouvelle fois le rattachement institutionnel de la Suisse au droit de l’UE et à la Cour de justice de l’UE ainsi que l’extension de la libre circulation des personnes. Pro Suisse est profondément déçue que la Berne fédérale, sous l’emprise de l’UE, ne cherche pas de nouvelles approches en matière de politique européenne. Elle persiste à vouloir vendre aux citoyens suisses « un vieux rossignol » et leur fait perdre un temps précieux. Au lieu d’adopter enfin une stratégie transparente vis-à-vis de Bruxelles et de se pencher sur les options de politique étrangère, elle se soumet au diktat de
Lauterbrunnen, le 13 décembre 2023 – Après son élection, le nouveau conseiller fédéral Beat Jans a souligné à plusieurs reprises que le peuple suisse était le souverain, «le chef». Pro Suisse salue ce message sans ambiguïté et espère qu’il respectera ce principe avec force pendant son mandat. L’Assemblée fédérale a élu le gouvernement pour la nouvelle législature. Pro Suisse félicite les élu-e-s et prend acte du fait que la concordance a été respectée au Conseil fédéral et l’attaque de la gauche et des Verts repoussée. Les Suisses veulent de la stabilité et non des luttes de pouvoir entre les partis. Le Conseil fédéral nouvellement élu doit s’engager sans concessions pour la préservation de l’indépendance, de la souveraineté et de la neutralité de la Suisse.
Le journalisme a-t-il peur de la liberté ? Voici une question à laquelle je sais que la plupart d’entre vous aimeraient bien que je dise « oui » avant de me lâcher sur mes collègues qui seraient tous de gauche, malveillants envers les gens qui, comme nous – vous notez que je m’inclus dedans ce « nous » – défendent des options souverainistes et une politique de neutralité conforme à notre tradition depuis plusieurs siècles. Si je me livrais à un tel exercice, je vous raconterais des anecdotes, on rigolerait un coup et à la fin vous me diriez peut-être « Je n’aime pas tellement les journalistes, mais des comme toi, j’en veux bien davantage »
Aujourd’hui, ça fait 31 ans que le peuple et les cantons ont rejeté l’adhésion à l’Espace économique européen (EEE). Le peuple suisse avait choisi, avec une participation de plus de 78 %, de suivre une voie autonome en Europe, non dictée par l’UE. Ce fut une décision judicieuse du peuple. On s’aveugle encore chaque jour sur les dysfonctionnements de l’UE. Les grandes tensions économiques, politiques et sociales au sein de l’UE ne cessent d’augmenter. Des idéologues aveuglés par l’UE en Suisse ne prennent ni au sérieux ni en main l’immigration incontrôlée et illégale dans l’UE et dans l’espace Schengen/Dublin – et par conséquent aussi en Suisse.
Qu’est-ce que l’OMS? Que veut l’OMS avec son nouveau pacte contre les pandémies et le RSI (Règlement sanitaire international) ? Signification pour le citoyen Que souhaite Pro Suisse ? Que faut-il faire ? Advance Purchase Agreement EU-Commission_Pfizer Inc (PDF) Agreement Pfizer Laboratories – South Africa (PDF) Proposal for negotiating text
Berne, le 5 décembre 2023 – L’Organisation mondiale de la santé (OMS) impose à ses États membres de signer un nouveau traité sur les pandémies et un nouveau Règle-ment sanitaire international. Tous deux ont des répercussions considérables à la fois pour la souveraineté de la Suisse et pour la liberté individuelle des citoyennes et des citoyens. Le Conseil fédéral minimise la situation et laisse le Parlement et la population suisse dans l’ignorance.
Motion 1 Pas de négociations avec l’OMS sans le Parlement! Le Conseil fédéral est mandaté pour interrompre immédiatement toutes les négociations avec l’OMS et ne signer aucun contrat et/ou document avec l’OMS et ses organisations partenaires jusqu’à ce qu’il obtienne le feu vert du Conseil national et du Conseil des
Recherche de marché par Thorsten Stutzmann
C’est nouveau et cela vient de sortir : désormais, une localité comme Lausanne appelle au cessez-le-feu dans des conflits à l’étranger.
La vie politique est rythmée de combats à court, moyen et long terme. Sans l’ombre d’un doute, la préservation d’une neutralité crédible et fructueuse est un objectif stratégique à long terme d’importance majeure pour la Suisse. A l’interne, il s’agit d’une garantie de stabilité pour nos concitoyens. A l’externe, c’est l’apport de notre pays pour la Paix et la stabilité globale.
La neutralité de la Suisse est au cœur de notre Confédération. Celui qui la détruit, détruit l’essence même de notre pays. L’UDC est le seul parti à défendre la neutralité suisse. Il est important de signer et de faire signer l’initiative sans attendre !
Lauterbrunnen, 31 octobre 2023 – Vendredi, « la Suisse » a donné son accord à l’Assemblée générale de l’ONU à une résolution proposée par les Etats arabes et d’autres « démocraties modèles » comme la Russie, l’Iran, le Venezuela et Cuba, avec 119 autres Etats. Cette résolution demande un « cessez-le-feu humanitaire » au Proche-Orient, sans même évoquer, et encore moins condamner, les crimes atroces commis par le Hamas contre des civils israéliens.
À la suite des élections fédérales du 22 octobre 2023, les conclusions suivantes s’imposent aux yeux de Pro Suisse :
Lauterbrunnen, 22 octobre 2023 – Les forces qui se sont exprimées en faveur de l’indépendance, de la souveraineté, de la démocratie directe et de la neutralité de la Suisse se sont renforcées lors des élections fédérales.
Le 22 octobre 2023, les Suissesses et les Suisses éliront un nouveau Parlement.En portant un regard rétrospectif sur les quatre dernières années, nous constatons que la majorité parlementaire a pris de plus en plus de décisions opposées aux intérêts de notre pays. Les fondements de l’indépendance, de la neutralité et
Lauterbrunnen, 26 septembre 2023 – L’Association interpartis Pro Suisse dénonce la décision de la majorité (25 voix contre 15) du Conseil des États de se débarrasser de 25 chars de combat de l’armée suisse et de les vendre à l’Allemagne. Ce « tour de passe-passe » – qui contourne les bases légales – vient remplacer des chars de la Bundeswehr allemande qui ont été livrés à l’Ukraine, pays en guerre. Précédemment, le Conseil national avait déjà approuvé cette opération violant la neutralité. La Suisse livre donc indirectement et unilatéralement des armes lourdes à un pays en guerre. Cette démarche est unique dans l’histoire suisse et se révèle être en réalité qu’une opération de relations publiques visant à « faire plaisir » à Bruxelles et Washington.
Lauterbrunnen, le 22 septembre 2023 : Pro Suisse, association non partisane, constate que par le passé, en vertu de sa neutralité crédible et en tant qu’État dépositaire du droit humanitaire en temps de guerre, la Suisse avait l’ambition, le devoir et la noble mission de veiller à ce que la dignité humaine et les droits de ceux qui endurent des souffrances soient respectés par toutes (!) les parties en guerre. Dans ce cadre, il importait toujours que tous les belligérants soient traités sur un pied d’égalité. Parallèlement, la Suisse neutre était une intermédiaire crédible dans la diplomatie de paix et mettait à disposition ses bons offices en la matière. En tant que pays neutre, elle a été choisie au XIXe siècle par les grandes puissances de l’époque pour accueillir le siège de la Croix-Rouge internationale (CICR)
Dr. Stephan Rietiker, Président Pro Suisse
Werner Gartenmann, Directeur Pro Suisse
Exposé de Christoph Blocher à l’occasion du 175e anniversaire de la Constitution fédérale suisse
Comme plusieurs autres pays d’Europe, la Suisse a récemment été marquée par d’importantes violences entre partisans et opposants au pouvoir en place en Érythrée. L’importation de clivages étrangers est-elle compatible avec nos valeurs ?
Lauterbrunnen, le 1er septembre 2023 – La majorité de la Commission de la politique de sécurité du Conseil des États (CPS-E) soutient la demande des partisans inconditionnels d’une adhésion à l’OTAN et à l’UE consistant à se séparer de 25 chars de combat Léopard 2 de l’armée suisse.
Lauterbrunnen, 30.8.2023 – La politique étrangère de la Suisse est de plus en plus élaborée par la direction du DDPS, laquelle soutient ouvertement l’adhésion à l’OTAN en enterrant progressivement la neutralité. Pro Suisse invite le Conseil fédéral à reprendre les rênes de la politique étrangère, à réveiller le département des affaires étrangères manifestement endormi et à mettre en réseau les différents départements de manière ciblée pour mener une politique étrangère qui défende pleinement les intérêts d’une Suisse souveraine et neutre. Le recours à l’armée est certes le moyen en dernier recours pour maintenir l’indépendance, mais en aucun cas le fil conducteur de la politique étrangère.
En lisant l’éditorial d’Eric Gujer paru dans la NZZ du 26 août 2023, la phrase de Boetius m’est revenue en mémoire : « Si tu avais gardé le silence, tu serais resté un philosophe au lieu de faire preuve de stupidité ».
L’art de militer contre la tradition politique et les intérêts de notre pays est-il désormais enseigné dans le cadre de la formation de journaliste ? On peut se poser la question avec une récente chronique du Temps. Analyse point par point.
Lauterbrunnen, 14 août 2023 – Le mouvement interparti Pro Suisse remercie Jacques Pittelout, l’ambassadeur suisse à Washington, de ses prises de position claires dans l’affaire Bill Browder.
Lauterbrunnen, 7 agosto 2023 – Pro Svizzera accoglie con favore le dimissioni di Brigitte Beck dalla carica di CEO di RUAG Holding e ringrazia il Consiglio di amministrazione dell’azienda e il Consiglio federale, in quanto autorità di vigilanza suprema, per i necessari preparativi.
Stephanie Gartenmann, Jeunes UDC Suisse/Pro Suisse, Matten b. Interlaken et Lukas Hüppin, Jeunes UDC Suisse/Pro Suisse, Wangen SZ
Les défenseurs d’une politique internationale conforme à nos traditions sont systématiquement caricaturés en souverainistes haineux et refermés sur eux-mêmes. Surprise : une étude vient montrer que le repli sur soi se situe plutôt dans le camp de leurs adversaires.
Chers compatriotes, chers amis ! – Notre fête fédérale est consacrée au thème suivant : « Le courage a engendré le mythe ! » – Au sens large, un mythe relate des faits imaginaires non consignés par l’histoire mettant en scène des êtres, histoires, choses ou événements à haute portée symbolique. –
Discours pour la Fête nationale 2023
Christoph Blocher, ancien conseiller national et fédéral
Les informations des médias sont de plus en plus précises. Des fonctionnaires du ministère américain des Finances envisagent de se rendre en Suisse la semaine prochaine pour échanger des informations avec des représentants de la branche locale des matières premières et du Secrétariat d’État à l’économie (Seco) sous un douteux
En signant une déclaration selon laquelle la Suisse va adhérer au système européen de défense aérienne Sky Shield, la Conseillère fédérale Amherd vient de trahir la neutralité suisse dans une mesure alarmante. Cette action fait suite à des années de manquements de la part de la Conseillère fédérale Amherd :
Le Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) a fait savoir le 6 juillet 2023 que la ministre autrichienne de la Défense, Klaudia Tanner, et le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, seront accueillis à Berne par la conseillère fédérale Viola Amherd. Le sujet de discussion principal serait le développement de la coopération dans le domaine militaire et la signature d’une déclaration d’intention stipulant que la Suisse souhaite participer activement à un bouclier antimissile européen appelé « European Sky Shields ». Dans le même communiqué de presse, il est indiqué que le Conseil fédéral souhaite développer la coopération militaire avec l’Allemagne et l’Autriche, membres de l’OTAN : « cela également compte tenu de la volonté du Conseil fédéral de centrer, dans le respect de la neutralité,
Les médias ont révélé que la Suisse a signé une déclaration d’intention pour adhérer au projet « European Sky Shield ». Il s’agit d’un bouclier antimissile européen qui est actuellement encouragé par 17 pays de l’OTAN et l’Autriche.
Refusant de ramper devant le président ukrainien Volodymyr Zelensky, l’Union Démocratique du Centre a récemment fait scandale au Parlement. Et pourtant, sa posture était plus fidèle à la tradition helvétique qu’on ne veut bien le dire.
Le Conseil fédéral désigne l’ambassadeur Alexandre Fasel comme secrétaire d’État du DFAE. Succédant à Livia Leu, il reprendra le dossier de l’UE.
Le Conseil fédéral a adopté lors de sa séance du 21 juin 2023 ce que l’on appelle des valeurs de référence pour un mandat de négociation avec la Commission européenne. Aucune nouvelle information n’a été communiquée au public. En substance, le Conseil fédéral a réitéré le contenu de sa séance à huis clos sur la politique européenne du 23 février 2023. On remarquera que le Conseil fédéral n’évoque ni l’abandon des « clauses guillotines », à savoir le lien juridique entre les différents accords, ni explicitement le rôle de la Cour de justice de l’UE. De toute évidence, le Conseil fédéral prépare le rattachement institutionnel de la Suisse à l’UE à n’importe quel prix – sous la pression notamment des turbos de l’UE, des cadres de l’administration et des associations économiques. Les prétendues concessions promises
Berne, le 21 juin 2023 – Le mouvement interpartis Pro Suisse prend connaissance de la démission du Président de la Confédération Alain Berset pour la fin de la législature en cours.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) est en train d’élaborer en toute discrétion un nou-veau traité contre les pandémies. Le Conseil fédéral a d’ores et déjà indiqué qu’il entendait le signer. « Cela aurait des conséquences considérables et signifierait la fin de notre liberté et de notre indépendance », a déclaré Stephan Rietiker, le président de Pro Suisse, lors d’une confé-rence de presse à Berne. Pour l’avocat Philipp Kruse, ce traité constituerait une violation de notre Constitution. Le conseiller national Franz Grüter, dans une interpellation, exige un certain nombre de réponses et d’actions de la part du Conseil fédéral. Le gouvernement doit informer les citoyennes et les citoyens ainsi que le Parlement de manière transparente sur les très impor-tantes conséquences durables de ce renforcement dangereux du pouvoir de l’OMS. Il faut un débat démocratique public
Dr. Stephan Rietiker, président de Pro Suisse
Actuellement, la neutralité suisse est au cœur de toutes les discussions. Je souhaite aujourd’hui replacer le débat pour vous sur le plan juridique et notamment vous en exposer le point de vue du droit international, puisque je suis spécialiste du droit international public.
Mon exposé s’articulera en cinq parties. En premier lieu, j’aborderai l’histoire de la neutralité, puis ses bases juridiques. Troisièmement, j’aimerais exposer les droits et les obligations des États durablement neutres, quatrièmement, traiter des questions de politique de neutralité. Cinquièmement, je veux rendre hommage à l’initiative de neutralité de Pro Suisse.
Dans son exposé intitulé « La neutralité de la Suisse – une mise en perspective », le Professeur Mark E. Villiger se penchera l’après-midi sur le thème très actuel de la « neutralité ». Ensuite, il y aura une conférence-débat sur la neutralité de la Suisse animée par Dominik Feusi (Nebelspalter). Participeront à ce débat : le professeur Mark E. Villiger, Sanija Ameti (Op Libero), le Conseiller aux Etats Thierry Burkart (Président du PLR. Les Libéraux-Radicaux) et le Conseiller national Roger Köppel (éditeur et rédacteur en chef de la Weltwoche).
Le Conseil fédéral a pris aujourd’hui la décision de mettre hors service 25 chars de combat Léopard 2 de l’armée suisse et de les vendre au fabricant allemand. Grâce à ce stratagème, Berlin peut maintenant se procurer les chars demandés.
Lors d’une conférence publique, Madame Brigitte Beck a encouragé au début du mois de mai 2023 dans sa fonction de CEO de RUAG AG les différents États acheteurs de matériel de guerre suisse à ne pas tenir compte de l’interdiction de réexportation. Elle estime que l’Espagne et l’Allemagne notamment devraient continuer à livrer des munitions suisses à l’Ukraine.
Pro Suisse envoie un message clair au Conseil fédéral : Le mouvement interpartis exige une position ferme dans les négociations avec l’UE. Avec des exigences clés non négociables pour la protection de la souveraineté, de la démocratie directe et de l’indépendance de la Suisse, Pro Suisse s’engage pour les intérêts du pays.
Rejoignez le Dr Pascal Lottaz, un expert renommé dans le domaine des études sur la neutralité, dans une interview captivante avec le Dr Stephan Rietiker, président de Pro Suisse. Plongez dans les subtilités du vote pro-neutralité de la Suisse et bénéficiez de l’expertise précieuse du Dr Rietiker. Ne manquez pas cet entretien instructif qui explore les conséquences potentielles de la votation sur l’avenir de la Suisse.
Le gouvernement ukrainien se serait adressé aux Services du Parlement pour que son président Volodymyr Zelenskyy puisse présenter une allocution vidéo à l’Assemblée fédérale réunie au cours de la session d’été. La demande de Kiev a été acceptée par les bureaux du Conseil national et du Conseil des États.
La cheffe de RUAG, Madame Brigitte Beck, fait preuve d’une négligence grossière en s’ingérant dans la politique étrangère et la politique de neutralité de la Suisse. Elle considère que les déclarations de non-réexportation d’armes et de munitions ne doivent plus être respectées.
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La Suisse est membre du système « Schengen-Dublin ». Or, l’Italie refuse depuis longtemps de respecter la procédure « Dublin » vis-à-vis de la Suisse. Il en résulte que les requérants d’asile qui arrivent en Suisse depuis l’Italie, premier pays d’asile, ne peuvent plus y être renvoyés comme le prévoit
Les ambassadeurs des pays du G7 (Etats-Unis, Canada, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Japon) et de l’UE font pression sur la Suisse et lui demandent d’en faire plus pour « traquer, geler et exproprier » des biens russes. Ils exigent qu’elle se soumette au diktat d’une task force spéciale. Hypocritement, les ambassadeurs des Etats du G7 affirment que, dans le cas contraire, la réputation de la Suisse est menacée. Pour Pro Suisse, cela revient à exiger de la Suisse qu’elle abroge sa législation et ses droits constitutionnels fondamentaux en levant un doigt menaçant. Ils laissent sous-entendre un chantage et d’autres tracasseries que Bruxelles notamment aimerait encore renforcer, ne serait-ce que parce que l’UE veut rattacher institutionnellement la Suisse souveraine.
L’ancien Conseiller fédéral Kaspar Villiger critique l’initiative populaire fédérale pour le « maintien de la neutralité suisse (initiative sur la neutralité) ».
Le Conseil fédéral a décidé dans sa séance d’aujourd’hui d’élaborer d’ici fin juin 2023 des critères de référence pour un mandat de négociation avec l’Union européenne (UE). Il fallait s’attendre à ce que le Conseil fédéral réclame de nouvelles négociations après l’arrêt des négociations en mai 2021 sur un accord-cadre institutionnel et compte tenu des tracasseries injustifiées de l’UE qui ont suivi.
L’Association Pro Suisse est consternée ! Une majorité de la Commission de la politique de sécurité du Conseil national a décidé de se séparer de 25 chars de combat Léopard de l’armée suisse. Par cette astuce, elle cherche à contourner les décisions du Parlement.
Claude Wild, jusqu’à récemment ambassadeur de Suisse à Kiev, se laisse aller à des écarts de langage. Plusieurs communiqués de presse citent le diplomate. Il insulte les Suisses en les qualifiant « … d’idiots qui font le jeu d’un agresseur … » et insinue que « la Suisse succombe à un fétichisme de la neutralité ».
Notre pays n’a apparemment tiré aucun enseignement de l’histoire récente ! Bien que la densité de la réglementation sur le marché financier suisse ait été massivement renforcée, manifestement uniquement pour mettre au pas les « petits et honnêtes gens », bien que l’on ait pu analyser les expériences cuisantes faites en Suisse,
L’ambassadeur des États-Unis à Berne, Scott Miller, prend position sur la guerre en Ukraine dans une interview publiée dans la NZZ du 16 mars 2023. Dans un langage diplomatique particulièrement bien formulé, il présente des exigences claires à la Suisse. Selon lui, elle doit autoriser immédiatement les livraisons d’armes et il demande sans équivoque que le Parlement suisse modifie les bases légales. De plus, la Suisse se doit de confisquer largement les biens russes et de les mettre à disposition pour la reconstruction de l’Ukraine dans le cadre d’accords internationaux. Il « incite » la Suisse à prendre part à la Task-Force « Russian Elites, Proxies and Oligarchs ».
Alors qu’il était encore récemment le « Conseiller fédéral préféré » du journal de boulevard Blick, le Président de la Confédération Alain Berset, a été massivement critiqué non seulement par le journal de Ringier, mais aussi par son propre parti, pour ses déclarations sur la neutralité. Le reproche du PS est d’autant plus remarquable que ses pères fondateurs se rendaient volontiers en pèlerinage auprès des autocrates communistes à Berlin-Est et à Moscou, alors même que l’Union soviétique de l’époque, dirigée par la Russie, avait envahi la Hongrie et la Tchécoslovaquie en violation du droit international. La Suisse avait alors pris des mesures contre la menace de l’Est, ce que les partisans de Berne avaient systématiquement combattu.
L’Allemagne ainsi que d’autres pays membres de l’UE et de l’OTAN veulent forcer la Suisse à livrer des armes et des munitions directement et indirectement dans la zone de guerre de l’Ukraine. Ils ignorent de la sorte la neutralité perpétuelle, armée et globale de la Suisse, en violant la souveraineté,
L’ambassadrice ukrainienne en Suisse, Madame Iryna Wenediktowa, se mêle de la politique suisse avec des déclarations peu diplomatiques auxquelles on ne s’attendait pas. Elle affirme que la Suisse ne peut rester neutre devant l’agression russe, parce que le droit international et les droits de l’homme sont bafoués. De plus, la neutralité suisse
Comme cela a déjà été annoncé lors de la conférence de presse du 28.2.23 au Centre de presse du Palais fédéral, Pro Suisse a lancé à l‘adresse de tous les parlementaires fédéraux une grande action pour le maintien de la neutralité suisse et contre l‘assouplissement de la Loi sur le matériel de guerre.
Mesdames et Messieurs les journalistes, Je me réjouis de vous accueillir à la conférence de presse de l‘association Pro Suisse. Le sujet sur lequel nous allons nous prononcer aujourd‘hui est d‘une actualité brûlante : il s‘agit de notre neutralité et des tentatives de la saper et de l‘affaiblir face à
Exposé de Walter Wobmann conseiller national, vice-président de pro Suisse et président du comité « maintien de la neutralité suisse »
Monsieur le Président de la Confédération, Mesdames, Messieurs les Conseillers fédéraux, La guerre en Ukraine nous rappelle, de la manière la plus effrayante, l’importance d’une Suisse authentiquement neutre qui puisse apporter sa contribution au rétablissement de la paix grâce à la médiation de ses « bons offices ». En adoptant
La Berne fédérale multiplie quasiment chaque jour des suggestions sans cesse nouvelles visant à saper notre neutralité éprouvée. Pro Suisse, qui compte maintenant plus de 25 ́000 membres, entend mettre un terme à cette cacophonie et à cette dilution du droit dans le but de renforcer notre neutralité suisse intégrale, perpétuelle et armée.
Lauterbrunnen, le 13 février 2023 – À la veille de la Conférence de Munich sur la sécurité, le président de cette dernière, Christoph Heusgen, a critiqué la position neutre de la Suisse dans le conflit ukrainien. La Suisse étant l’une des plus anciennes démocraties avec une neutralité traditionnellement enracinée, elle n’a pas de leçons à recevoir de représentants étrangers.
Lauterbrunnen, le 3 février 2023 – Pro Suisse doit clairement prendre position dans le débat sur la livraison directe d’armements suisses ainsi que leur remise par des tiers à des pays en guerre. Pour le président de Pro Suisse, Stephan Rietiker, une chose est certaine : « Nous engagerons des mesures juridiques adéquates contre tout assouplissement de notre neutralité et, au besoin, nous lancerons un référendum ». De plus, il est évident pour Pro Suisse que les partisans de l’assouplissement des bases légales pour les exportations d’armes ne s’intéressent absolument pas à l’Ukraine, mais à discréditer la neutralité suisse et, par voie de conséquence, rendre plus aisé l’intégration de la Suisse dans l’UE et l’OTAN. Pro Suisse appelle le Conseil fédéral à stopper cette approche politique erronée.
Il y a trente ans, le 6 décembre 1992, les Suisses et les cantons suisses ont décidé de ne pas s’intégrer à l’Union européenne en disant non à l’adhésion de la Suisse à l’ « Accord sur l’Espace économique européen (EEE) »
Flash-back de 30 ans – 6 décembre 1992. Le Conseil fédéral a l’air « morose » face à la caméra, constate SRF « 10-vor-10 » dans sa rétrospective. Pour la Berne fédérale et de nombreux politiciens de premier plan de l’époque, c’est la fin du monde. 50,3 pour cent des Suisses disent NON à l’adhésion à l’EEE, ne veulent pas s’intégrer dans cette construction internationale.
En six (!) rondes, il a été « possible de développer une compréhension commune de l’approche par paquet présentée par le Conseil fédéral ». Beaucoup de mots doux, qui vont et viennent comme des vagues chaudes : « Cette approche élargit la marge de manœuvre pour trouver des solutions. Les intérêts vitaux de la Suisse peuvent être mieux pris en compte. Cette approche offre ainsi de bonnes conditions pour un équilibre des intérêts ».
Quelques heures après sa création, l’association Pro Suisse a décidé de soutenir l’initiative populaire « Maintien de la neutralité suisse (initiative sur la neutralité) ».
Les trois associations « Action pour une Suisse indépendante et neutre (ASIN) », « Non à l’adhésion rampante à l’UE » et « Association des entrepreneurs contre l’adhésion à l’UE » se sont engagées activement au cours des dernières années pour préserver l’indépendance, la sécurité et la neutralité de la Suisse.
La guerre en Ukraine soulève des interrogations sur la neutralité suisse et sa participation aux sanctions contre la Russie. Ne manquez pas le débat captivant entre Florence Sager-Koenig et Thomas Cottier, interviewés par Plaidoyer, qui explorent les implications de la participation de la Suisse aux sanctions et la nécessité de clarifier sa position. Lisez l’article dès maintenant !
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