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Non au Big Brother européen : protégeons nos libertés !

Bruxelles impose sa loi, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est censé se taire et payer.

Sous prétexte de protéger les citoyens, Bruxelles prépare une intrusion massive : lire nos messages privés. Derrière la façade de sécurité, c’est un système de surveillance généralisée qui menace nos droits fondamentaux. La Suisse doit refuser cette soumission programmée et défendre sa souveraineté.

De la sécurité à la surveillance de masse
L’Union européenne avance à grands pas vers un projet orwellien : le « Chat Control ». Ce dispositif obligerait les plateformes et les fournisseurs à scanner tous les messages, photos et vidéos privés afin de détecter des contenus jugés problématiques. En clair : chaque conversation, chaque échange personnel, chaque message envoyé à un proche pourrait être lu et analysé.

Ce projet dépasse largement la notion de sécurité, il programme en réalité une surveillance de masse. Un tel système revient à placer chaque citoyen sous suspicion permanente. C’est une atteinte directe à la liberté d’expression, à la sphère privée et à l’État de droit.

La Suisse doit rester libre face aux dérives de Bruxelles

Et comme toujours, Bruxelles cherche à imposer ses règles bien au-delà de ses frontières. Des pressions existent déjà pour que la Suisse s’aligne, au nom d’une prétendue harmonisation. Mais devons-nous vraiment transformer notre pays en terrain d’expérimentation pour les délires technocratiques de l’UE ?

L’histoire de la Suisse est celle d’un peuple libre, qui a toujours placé la responsabilité individuelle et la confiance au cœur de son modèle. Nos institutions reposent sur la démocratie directe et non sur la méfiance généralisée. Si nous cédons aujourd’hui à l’intrusion numérique de Bruxelles, demain ce seront nos lois, nos valeurs et notre souveraineté qui seront balayées.

Résistons à ce Big Brother européen qui menace de réduire nos libertés à néant. Refusons l’ingérence étrangère dans nos vies privées. Exigeons de nos autorités une position claire : non à la surveillance de masse, oui à la souveraineté et à la liberté !

NON à la soumission à Bruxelles et à l’assujettissement 2.0 au Bailli Gessler.

Nous refusons :  D’OBÉIR, D’ÊTRE SURVEILLÉS, DE PAYER ET DE NOUS TAIRE.

Céline Amaudruz,
Conseillère nationale,
Genève (GE)