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L’UE convoite notre argent !

Bruxelles impose sa loi, la Berne fédérale capitule et le peuple suisse est censé se taire et payer.

Précision : 1 million = 6 zéros, 1 milliard = 9 zéros, 1 billion = 12 zéros.

Traité de soumission à l’UE – on ignore encore son libellé officiel.Mais nous savons déjà ceci : la Suisse devra verser 650’000’000 de francs (650 millions) entre 2025 et 2029 et 2’450’000’000 de francs (2,45 milliards) entre 2030 et 2036 aux États membres de l’UE (cohésion). Et à partir de 2037 ? Parions que ce sera encore plus et toujours plus…

Or, la Cour des comptes de l’UE a elle-même mis en garde en 2024 contre le détournement de l’argent dédié à la cohésion (« soutien des Etats les plus pauvres ») dans les pays membres, notamment en raison de la corruption.

Aujourd’hui déjà, nous contribuons aux programmes de l’UE : le montant annuel pour le programme Frontex dépassera les 70’000’000 de francs. Pour le programme Schengen, nous versons depuis 2014 bien plus de 220’000’000 Fr. 

La TVA à 8.1%, bien moins élevée en Suisse qu’au sein de l’UE, sera tôt ou tard attaquée par l’UE pour distorsion de la concurrence. 15% est le taux moyen obligatoire de l’UE. Parions que notre taux de TVA finira un jour devant la Cour de justice de l’UE. Fini la souveraineté fiscale de la Suisse.

Lors de l’introduction de l’Euro, des conditions ont été édictées. Un pays de la zone euro ne devait pas avoir un taux d’endettement public supérieur à 60% de sa performance économique (donc, de son PIB). Aujourd’hui, voici la réalité : zone Euro : 88,2%, Grèce : 158.2%, Italie : 136.3%, France : 113.8%, Espagne : 104.3%, Autriche : 83.2%, Allemagne : 62.4%.
Dette en € : France : 3’303 milliards, Italie : 2’961 milliards, Allemagne : 2’634 milliards, UE-27 : 14’305 milliards, zone Euro : 13’229 milliards (1’000 milliards = 1 billion).

Endettement public de la Suisse (tous les niveaux publics confondus) 2024 : environ 209.8 milliards de francs brutto.
[Source : BNS]

Est-ce que vous vous rendez compte de quelque chose ?

C’est pourquoi il faut voter NON au traité de soumission à l’UE et NON à l’assujettissement 2.0 au Bailli Gessler.  Nous refusons :  D’OBÉIR, DE PAYER ET DE NOUS TAIRE.


Werner Gartenmann,
directeur Pro Suisse