J.D. Vance, le vice-président américain, a récemment mis les représentants de l’UE face à un miroir sans équivoque. À juste titre, il a critiqué le fait que la liberté d’expression soit bafouée dans l’UE par la censure, la répression et la ségrégation des opinions politiques divergentes. Dans le but de continuer à restreindre la démocratie, les fonctionnaires de l’UE vont jusqu’à menacer ouvertement d’invalider les référendums qui ne vont pas dans le sens des élites, comme cela a été le cas en Roumanie. Le tout selon la devise : la démocratie, pour nous, c’est ce que nous dictons de faire. L’opinion des autres ne joue aucun rôle.
Pour un pays comme la Suisse, dans lequel les droits fondamentaux de la démocratie directe, les droits des minorités et la liberté d’expression sont des valeurs fondamentales ancrées dans la tradition, ces tendances sont incompatibles. Rien que pour cette raison, un rattachement à l’UE ou la reprise complète du droit européen par la Suisse n’est en aucun cas envisageable.
C’est pourquoi il faut voter NON au traité de soumission à l’UE et NON à l’assujettissement 2.0 au Bailli Gessler. Nous refusons : D’OBÉIR, DE PAYER ET DE NOUS TAIRE.

Dr. Stephan Rietiker,
Président Pro Suisse