«Après le non à l’EEE, la situation de la Suisse s’est avérée bien meilleure que ce que beaucoup craignaient»

Flash-back de 30 ans – 6 décembre 1992. Le Conseil fédéral a l’air « morose » face à la caméra, constate SRF « 10-vor-10 » dans sa rétrospective. Pour la Berne fédérale et de nombreux politiciens de premier plan de l’époque, c’est la fin du monde. 50,3 pour cent des Suisses disent NON à l’adhésion à l’EEE, ne veulent pas s’intégrer dans cette construction internationale.

Sounding Board : UE, écoute-moi !

En six (!) rondes, il a été « possible de développer une compréhension commune de l’approche par paquet présentée par le Conseil fédéral ». Beaucoup de mots doux, qui vont et viennent comme des vagues chaudes : « Cette approche élargit la marge de manœuvre pour trouver des solutions. Les intérêts vitaux de la Suisse peuvent être mieux pris en compte. Cette approche offre ainsi de bonnes conditions pour un équilibre des intérêts ».

Création de l’association Pro Suisse

Les trois associations « Action pour une Suisse indépendante et neutre (ASIN) », « Non à l’adhésion rampante à l’UE » et « Association des entrepreneurs contre l’adhésion à l’UE » se sont engagées activement au cours des dernières années pour préserver l’indépendance, la sécurité et la neutralité de la Suisse.

Plaidoyer : « La neutralité suisse remise en question face à la guerre en Ukraine »

La guerre en Ukraine soulève des interrogations sur la neutralité suisse et sa participation aux sanctions contre la Russie. Ne manquez pas le débat captivant entre Florence Sager-Koenig et Thomas Cottier, interviewés par Plaidoyer, qui explorent les implications de la participation de la Suisse aux sanctions et la nécessité de clarifier sa position. Lisez l’article dès maintenant !